

Il nous revient, septembre, avec sa suite frileuse des mois « en bre », la nostalgie des jours ensoleillés déchus de leurs promesses, l’ attente d’un chimérique « été indien » rédempteur des calamités passées…

L’ espoir reste un crampon vrillé au cœur de l’homme et le crachin de l’ heure ne l’ excisera pas. L’actualité qui épingle les extrêmes qui le flagellent sans cesse n’est pas prête à le briser.

La reconstruction des sites ravagés et des infrastructures, les mesures anti- carbone, la pression pour la vaccination en témoignent chaque jour. Demain, c’est la rentrée à l’ école. Parfois la publicité insolente masque un témoin vénérable du passé. Faut-il en dispenser la jeunesse ? Faut-il plutôt la brancher vers cet affichage émancipé ?

Les générations passent. Où sont les attentes de demain ? Hier, la fête de Francorchamps s’est effondrée sous les ondées. Les bolides ont dû rentrer aux paddocks leurs chevaux cabrés.

Mais les marrons de l’Avenue se bronzent sous leur coque. Au jardin, l’herbe n’a jamais été si verte et, une rose survit…
Et pour conclure, du positif: bravo et merci Michel.
Merci, fidèle Michel !