
Mars à nouveau de retour. Mon arbre pleure. Un an déjà que le mois, martial et impérieux, nous colle un masque sur la bouche.

C’est un cycle indécent, hors la norme millénaire. Les gens se rebiffent invoquant des lois de démocratie autoproclamée.

La Covid, entourée de sa cour de variants, s’en fiche comme d’une guigne : ce sont là jeux inventés par des Aliens, une autre espèce. La nature a ses normes et se plait à brouiller des statistiques désormais vouées aux aléas.

Records battus, février a joué à saute mouton entre tiédeurs et gelées. La santé comme le mercure fluctuent, gigotent et donnent des bouffées aux experts.

Les masques et les vaccins montent en scène suggérant des scènes d’escrimes surréalistes.

Drôle de temps qui fait claironner les crocus, jaunir les mimosas et pleurer les bouleaux. La sève monte ! Allez, bientôt le sacre du printemps…

Merci Michel pour ton optimisme à tous crins !
Tout est dit, tellement bien dit! Bravo Michel.