Sur la terre et l’arc-en-ciel :
Tu m’étonnes, Folon, et sans abasourdir
Ton univers s’éploie sans rime ni raison ;
Et ton message vient sans trop nous esbaudir
Jouer parmi les hommes… et les constellations !
Sur les images d’une humanité déboussolée
Seul, et perdus dans la multitude,
Assiégés de sollicitations,
Nous errons dans la noire hébétude
Du banni dans la population.
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