Il est brouillon novembre. Il l’est dans ses ciels incertains, dans ses eaux qui pavent les chemins de regards mouillés. Des brouillards vont, s’agglutinent, se perdent…Comme les jours, les heures qui changent et les évènements dont actualité s’enchevêtre aux vieilles commémorations. La « grande guerre » n’en finit pas d’exhumer ses plaies, la shoah de générer ses contradictions tandis qu’à l’orient les gesticulations guerrières s’angoissent de cataclysmes planétaires. Voilà que de l’autre côté de l’Atlantique, du 11 septembre 2001, on refait un petit… Et moi, je sauve en pots les derniers pélargoniums du jardin !
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