À l’échelle Fahrenheit, le mercure s’exhibe au pas de la procession d’Echternach, un
degré en avant, deux en arrière…Les roses n’en ont cure, elles exultent sur les murs et dans les jardins. Déjà les premières s’effeuillent. Les cahiers d’école reposent un moment parmi l’accueil empressé des ombres. L’heure est à d’autres paysages, autres passions, autres décors. S’ouvre un air de vacance, vide heureux… juste avant la levée du futur désir. Ou la voix du prochain appel… C’est l’été.
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